#Camus-1

L’HÔTE

KOMPETENZENSCHWERPUNKTE:

1> Leserverstehen 2> Hör-Seh-Verstehen 3> Sprechen 4> Schreiben

L’enseignant observait comment les deux hommes s’approchaient de lui. Les deux hommes approchaient, l’un était à cheval et l’autre à pied. Les deux hommes avançaient lentement et ils s’efforçaient de progresser dans la neige. Le chemin était très raide jusqu’à l’école. L’enseignant a vu qu’il était très difficile pour les deux hommes d’arriver jusqu’à lui. L’un des hommes savait comment s’y prendre et a pu suivre la piste dans la neige. L’enseignant est retourné à l’école et dans la salle de classe froide. Au tableau, les quatre fleuves de France étaient représentés. La neige était tombée à la mi-octobre après huit mois de sécheresse. Le problème était que les élèves ne pouvaient plus se rendre à l’école. Le chemin était recouvert de neige. Pendant la nuit, la neige a diminué. L’enseignant restait dans sa chambre. Il ne sortait que pour donner à manger aux poules. La camionnette de Tadjid est arrivée. Normalement, la camionnette met 40 minutes, cette fois-ci, il lui a fallu 8 heures. Le malheur de la sécheresse a touché tous les habitants des environs. Beaucoup de gens sont morts, mais l’enseignant ne s’en est pas rendu compte et s’est senti comme un moine. Peut-être que l’un des pères ou des frères leur fournirait du blé à l’école. Des bateaux chargés de blé arrivaient maintenant de France et le pire était désormais passé. C’était une catastrophe, des gens et des moutons mouraient, et parfois personne ne s’en rendait compte. L’enseignant était maintenant très satisfait du peu qu’il avait. L’enseignant regarda par la fenêtre, il reconnut un homme, le cavalier Balducci. Balducci tenait l’Arabe par une corde.

L’enseignant s’était senti comme un maître, il était servi chaque semaine en eau et en nourriture. Et puis, à nouveau, subitement, cette neige. Elle était arrivée sans prévenir. Il est sorti de la maison et les deux hommes étaient à mi-chemin. Balducci s’écria : une heure pour parcourir trois kilomètres… Dans son gros pull, il les regardait monter… Pas une seule fois, l’Arabe n’avait levé la tête…

Der Lehrer beobachtete, wie die beiden Männer auf ihn zu kamen. Die beiden Männer kamen an, einer war auf dem Pferd und einer zu Fuß. Die beiden Männer kamen nur langsam voran und sie bemühten sich durch den Schnee zu kommen. Der Weg war sehr steil zur Schule. Der Lehrer sah das es sehr schwer für die beiden Männer war zu ihm zu gelangen. Einer der Männer kannte sich aus und konnte der Spur im Schnee folgen. Der Lehrer ging in die Schule zurück und in den kalten Klassenraum zurück. An der Tafel waren die vier Flüsse von Frankreich abgebildet. Der Schnee war Mitte Oktober nach acht Monaten Trockenheit gefallen. Das Problem war, das die Schüler nicht mehr zur Schule kommen konnten. Der Weg war zugeschneit. In der Nacht wurde der Schnee weniger. Der Lehrer bleibt nur in seinem Zimmer. Er ging nur raus um die Hühner zu füttern. Es kam der Lieferwagen aus Tadjid. Normalerweise braucht der Lieferwagen 40 Minuten, diesmal brauchte er 8 Stunden. Das Unglück der Dürre, betraf alle Menschen aus der Umgebung. Viele Menschen starben, der Lehrer bekam das aber nicht mit und fühlte sich wie ein Mönch. Vielleicht würden einer der Väter oder der Brüder sie an der Schule mit Getreide versorgen. Schiffe mit Weizen kamen jetzt aus Frankreich und das schlimmste war nun überstanden. Es war eine Katastrophe, Menschen und Scharfe starben und teilweise merkte es niemand. Der Lehrer war mit dem wenigen was er hatte, nun sehr zufrieden. Der Lehrer schaute aus dem Fenster, er erkannt einen Mann den Reiter Balducci. Balducci hielt den Araber an einem Seil fest.

Der Lehrer hatte sich wie ein Herr gefühlt, er wurde wöchentlich mit Wasser und Lebensmitteln bedient. Und dann wieder ganz plötzlich, dieser Schnee. Er kam ohne Vorwarnung. Er ging aus dem Haus und die beiden Männer waren auf halben Weg. Balducci rief: Eine Stunde für drei Kilometer… In seinem dicken Pullover, sah er ihnen nach, wie sie nach oben gingen..Nicht ein einziges Mal, hatte der Araber den Kopf gehoben…